UN CAPITALISME A VISAGE HUMAIN. LE MODÈLE VÉNITIEN
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UN CAPITALISME A VISAGE HUMAIN. LE MODÈLE VÉNITIEN
UN CAPITALISME A VISAGE HUMAIN. LE MODÈLE VÉNITIEN Par Jean-Claude Barreau.
Éditions Fayard.
Collection : Divers Histoire. 187 pages . 14,90€
ISBN : 978-2-213-65438-6
EAN : 9782213654386
Parution en janvier 2011
Pas encore lu, mais résumé du site
http://www.lalettredusecteurpublic.fr/page2.asp?ref_page=5249&ref_arbo=1444
"C’est un livre écrit par un amoureux de Venise, la ville-État pour laquelle il fait un vibrant plaidoyer. "Venise aimait le profit, mais avait compris, dans sa sérénissime sagesse, qu’à long terme le profit ne saurait ignorer le bien commun, Venise était une économie mixte, alliant les capitaux et l’État", écrit Jean-Claude Barreau. Pour lui, c’est l’exemple achevé d’une économie keynésienne. Bien avant les protestants de Max Weber et leur éthique, les Vénitiens inventèrent le capitalisme moderne (la Bourse, les banques, la lettre de change, la comptabilité double), mais aussi l’écologie au quotidien, une certaine forme de laïcité, le non cumul des mandats et la justice égale pour tous. Parce que les riches qui dirigeaient ce monde avaient à cœur de le préserver, de le faire fructifier et non de le consommer. Comment construire un capitalisme à visage humain ?
Jean-Claude Barreau se fait le défenseur de l'oligarchie vénitienne qu’il propose en modèle pour notre société parce qu’elle inventa un capitalisme intelligent, respectueux de son peuple, fondé sur le sens de l’État de ses élites. Et si Venise a périclité, c’est à cause de la sclérose de ses élites dirigeantes. Ce livre très plaisant survole l’histoire de la Sérénissime, son organisation politique, son urbanisation singulière, ses artistes, son art de vivre et donne envie d’en savoir plus sur ce qui fut une ville-monde avant l’heure.
L’auteur, Jean-Claude Barreau, théologien de formation, est historien et écrivain. Conseiller de François Mitterrand sur les questions d'immigration, de Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur, puis président de l'Office des migrations internationales, il fut également (1989-1998) président du conseil d'administration de l’INED (Institut national d’études démographiques). "
Éditions Fayard.
Collection : Divers Histoire. 187 pages . 14,90€
ISBN : 978-2-213-65438-6
EAN : 9782213654386
Parution en janvier 2011
Pas encore lu, mais résumé du site
http://www.lalettredusecteurpublic.fr/page2.asp?ref_page=5249&ref_arbo=1444
"C’est un livre écrit par un amoureux de Venise, la ville-État pour laquelle il fait un vibrant plaidoyer. "Venise aimait le profit, mais avait compris, dans sa sérénissime sagesse, qu’à long terme le profit ne saurait ignorer le bien commun, Venise était une économie mixte, alliant les capitaux et l’État", écrit Jean-Claude Barreau. Pour lui, c’est l’exemple achevé d’une économie keynésienne. Bien avant les protestants de Max Weber et leur éthique, les Vénitiens inventèrent le capitalisme moderne (la Bourse, les banques, la lettre de change, la comptabilité double), mais aussi l’écologie au quotidien, une certaine forme de laïcité, le non cumul des mandats et la justice égale pour tous. Parce que les riches qui dirigeaient ce monde avaient à cœur de le préserver, de le faire fructifier et non de le consommer. Comment construire un capitalisme à visage humain ?
Jean-Claude Barreau se fait le défenseur de l'oligarchie vénitienne qu’il propose en modèle pour notre société parce qu’elle inventa un capitalisme intelligent, respectueux de son peuple, fondé sur le sens de l’État de ses élites. Et si Venise a périclité, c’est à cause de la sclérose de ses élites dirigeantes. Ce livre très plaisant survole l’histoire de la Sérénissime, son organisation politique, son urbanisation singulière, ses artistes, son art de vivre et donne envie d’en savoir plus sur ce qui fut une ville-monde avant l’heure.
L’auteur, Jean-Claude Barreau, théologien de formation, est historien et écrivain. Conseiller de François Mitterrand sur les questions d'immigration, de Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur, puis président de l'Office des migrations internationales, il fut également (1989-1998) président du conseil d'administration de l’INED (Institut national d’études démographiques). "
michel78- Nombre de messages : 70
Localisation : 78 France
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: UN CAPITALISME A VISAGE HUMAIN. LE MODÈLE VÉNITIEN
Je l'ai vu en librairie et trouvé outrageusement mauvais (bibliographie indigente, recours sans vergogne à l'anachronisme, abus de l'idéal-type).
condorcet- Nombre de messages : 2531
Date d'inscription : 03/03/2008
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